Présentation de la commune

SAINT-JEAN-SUR-REYSSOUZE

Nom donné au cours de la Révolution : Montfleury-sur-Reyssouze.

Saint-Jean-sur-Reyssouze est un petit village du sud est de la France situé dans le département de l’Ain en région Rhône-Alpes.

Le village est intégré à la communauté de communes de Saint-Trivier-de-Courtes et appartient au canton de Replonges.

Géographie  :

L’altitude moyenne de Saint-Jean-sur-Reyssouze est de 207 mètres environ. Sa superficie est de 27.48 km². Sa latitude est de 46.397 degrés Nord et sa longitude de 5.062 degrés Est. Les villes et villages proches de Saint-Jean-sur-Reyssouze sont : Béréziat (01340) à 3.45 km, Saint-Julien-sur-Reyssouze (01560) à 3.54 km, Mantenay-Montlin (01560) à 4.03 km, Servignat (01560) à 4.16 km, Saint-Étienne-sur-Reyssouze (01190) à 5.06 km.

Population  :
La population de Saint-Jean-sur-Reyssouze était de 720 en 2009, 699 en 2007, 684 en 2006, 582 au recensement de 1999, 578 habitants en 1982 , 680 en 1975, 818 en 1968, 1 068 en 1946, 1163 en 1926, 1 385 en 1906, 1 668 en 1841, 1 720 en 1806, 1 367 en 1786. Des sols favorables à l’agriculture ont longtemps permis à ce territoire de retenir une population nombreuse ; le dépeuplement y est récent.
La densité de population du village est actuellement de 26.20 habitants par km².

Histoire  :
Saint-Jean-sur-Reyssouze relève pour la plus grande partie de la paroisse du marquisat de Bâgé, et pour le reste de la puissante seigneurie de Montiernoz. Quelques petits fiefs anciens ont été absorbés :
-l’Asnes (patois : l’Ôno) déjà rattaché à Saint-Jean au XIII siècle.
-Le fief et le hameau de Mons (villa de Monte, 1074-1096) sont devenus propriété du seigneur de Montiernoz ;
– Le fief de la Touvière qui resta en dehors de la maison de Montiernoz.

Petit village, lové dans sa Bresse vallonnée, Saint-Jean-sur-Reyssouze a connu les dominations successives des Allobroges, de l’Empire Romain, du Royaume des Burgondes et de l’Empire d’Allemagne.
Notre « pays » était alors morcelé en domaines féodaux et, en 1272, Amédée de Savoie, Seigneur de Bâgé et de Bresse, reçoit en hommage le Fief de St Jean / Reyssouze. La plus grande partie de la paroisse relève donc du Marquisat de Bâgé et le reste de la Seigneurie du château de Montiernoz, entouré de domaines : les hameaux actuels.
Au fil du temps, notre village a répondu à différents noms :
ECCLESIA S. JOHANNIS, SUPER REYSSUSAM, SUPRA REYSSOUSAM, ROYSSOSAM, ST JEAN SUR REISSOUZE
mais il semble que le plus approprié soit celui de « MONTFLEURY », nom donné au cours de la révolution et qui, lui allait si bien. Aujourd’hui nommé ST JEAN SUR REYSSOUZE, du nom de son Saint Patron que nous fêtons chaque année, il porte également le nom de la charmante petite rivière dans laquelle se mirent non pas son clocher, mais plusieurs moulins objets de la « Ronde des Trois Moulins » organisée tous les ans avec nos villages voisins et amis.

Son fleurissement est mis à l’honneur lors de la fête annuelle du 15 août, et lui a valu de nombreux prix départementaux, régionaux et nationaux.

Les premières éclosions de ses fleurs remontent à la préparation du Festival de Musique de 1966.

En outre, St Jean peut être fière de son église d’architecture romane, vieille de 8 siècles, et parée d’une galonnière protégeant son porche, classé aux monuments historiques ainsi que la cloche de 1763

Les Jeunes

FOYER RURAL DES JEUNES

Le Foyer Rural des Jeunes de Saint Jean sur Reyssouze a été relancé en 2014 par un groupe de jeunes de la commune, aujourd’hui il compte une quarantaine de membres allant de 15 à 25 ans.

Il s’inscrit aujourd’hui comme un prolongement des conscrits bien que sa composition soit beaucoup moins restrictive ; en effet, pour devenir membre il suffit de vous présenter à notre séance d’inscription qui a lieu en fin d’année.

Aujourd’hui, plus de la moitié des adhérents du foyer ne sont pas ou plus des habitants de Saint Jean, bien que Saint Jean reste notre village ainsi que notre cri de ralliement.

Le Foyer a pour but d’organiser différentes manifestations dans la commune, allant du traditionnel bal qui a lieu chaque année le dimanche de Pâques accompagné de son tournoi de pétanque, jusqu’à des soirées cinéma ou des jeux inter-quartiers…

Avec les fonds récoltés durant les différentes manifestations le foyer organise des sorties pour ses adhérents. L’an passé la sortie était une journée à Walibi et cette année c’est un week-end en Ardèche qui est prévu pour le mois de septembre.
L’ambiance au sein du foyer est amicale et conviviale. 
Pour nous suivre :

https://www.facebook.com/foyerDesJeunesSaintJean

Programme 2017 :
Vendredi 27 Janvier 2017 : Projection cinéma (20 h 30)
Dimanche 16 avril 2017 : Pétanque et Bal de Pâques
Samedi 2 & Dimanche 3 Septembre 2017 : Week-end en Ardèche (réserver aux membres).
Samedi 23 Septembre 2017 : Assemblée générale

les-jeunes-du-foyer-rural

Mariage

Le mariage est célébré à St Jean / Reyssouze si l’un des deux futurs époux a son domicile ou sa résidence établie depuis au moins 1 mois à la date de publication des bans.

Pièces à fournir :

  • le dossier avec la liste des pièces à fournir est à retirer en mairie

Obsèques civiles

Pour l’organisation d’obsèques civiles, veuillez prendre rendez-vous avec Monsieur le Maire.

L’inhumation :

L’inhumation consiste à placer le corps du défunt dans une tombe. Elle a lieu le plus souvent dans un cimetière, 6 jours au plus après le décès, sauf exceptions. L’entreprise de pompes funèbres choisie s’occupe des démarches liées à l’inhumation, en totalité ou en partie.

Le défunt a indiqué sa volonté
Si le défunt avait exprimé le souhait d’être inhumé, et quelle que soit la manière dont il l’avait indiqué (oralement ou par écrit), ses proches doivent respecter sa volonté.

Le défunt n’a laissé aucune indication
Si le défunt n’a pas organisé à l’avance ses funérailles, ou s’il n’a laissé aucune indication sur leur organisation, la décision appartient à ses proches.

À noter : en cas de désaccord persistant entre les proches du défunt sur l’organisation de ses funérailles, le tribunal d’instance du lieu du décès peut être saisi.

Une fois le décès déclaré, plusieurs formalités sont à effectuer jusqu’à l’inhumation. L’entreprise de pompes funèbres les prend en charge, en totalité ou en partie :

  • autorisation de fermeture du cercueil
  • si nécessaire, déclaration préalable au transport du corps
  • fermeture définitive du cercueil
  • autorisation d’inhumer

La crémation :

La crémation est une technique funéraire visant à brûler et réduire en cendres le corps d’un être humain. Elle est réalisée dans un crématorium.

Le défunt a indiqué sa volonté
Si le défunt avait exprimé le souhait d’être incinéré, et quelle que soit la manière dont il l’avait indiqué (oralement ou par écrit), ses proches doivent respecter sa volonté.

Le défunt n’a laissé aucune indication
Si le défunt n’a pas organisé à l’avance ses funérailles, ou s’il n’a laissé aucune indication sur leur organisation, la décision appartient à ses proches.

À noter : en cas de désaccord persistant entre les proches du défunt sur l’organisation de ses funérailles, le tribunal d’instance du lieu du décès peut être saisi.

Destination des cendres

  • Période de garde

Après la crémation, les cendres sont recueillies dans une urne cinéraire munie d’une plaque indiquant l’identité du défunt et le nom du crématorium.

L’urne peut être gardée au crématorium pendant un an au maximum (ou dans un lieu de culte, après accord de l’association chargée de l’exercice du culte).

À l’issue de ce délai, si les proches du défunt n’ont pas pris de décision, les cendres sont dispersées dans l’espace de dispersion du cimetière de la commune du lieu de décès ou, si nécessaire, dans le site cinéraire le plus proche.

  • Cimetière ou site cinéraire

Au sein d’un cimetière ou d’un site cinéraire, les cendres peuvent avoir les destinations suivantes :

 – inhumation de l’urne dans une sépulture,

 – dépôt de l’urne dans un columbarium,

 – scellement de l’urne sur un monument funéraire,

 – dispersion des cendres dans l’espace aménagé à cet effet (jardin du souvenir).

  • Dispersion des cendres en plein nature

Pour disperser les cendres en pleine nature, il faut s’assurer que celles-ci ne se répandront pas, même partiellement, sur la voie publique ou dans un lieu public (stade, square, jardin public, etc.).

La dispersion est autorisée en pleine mer mais peut être interdite sur les cours d’eau (se renseigner auprès de la mairie de la commune concernée).

Une déclaration à la mairie du lieu de naissance du défunt est nécessaire. Un registre indique l’identité du défunt, la date et le lieu de dispersion des cendres.

  • Inhumation de l’urne dans une propriété privée

L’urne contenant les cendres peut être placée dans une sépulture située dans une propriété privée.

Attention : il est interdit de conserver les cendres dans un logement, ainsi que de les disperser dans un jardin privé.